Sujet : Arrivée à Konoha: Ayumi... Qu'as-tu encore fait ? |
|  Posté le 20-08-2006 à 23:27:13
| Katsumi arriva à Konoha, accompagnée d'une servante qui était silencieuse. Normal, elle était muette. Elle regarda les portes imposantes de Konoha et soupira. Bah, si sa petite fille s'était cachée à Konoha, libre à elle. Mais, bientôt, elle devrait quitter le village de la feuille pour aller rejoindre Suna. C'était la destinée de sa petite fille, elle devait s'y plier.
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| Posté le 20-08-2006 à 23:31:57
| Ayumi était adossée aux portes de Konoha, les bras croisés. Elle regarda sa grand-mère avancer vers elle. Elle ne ressemblait pas du tout à sa mère. Si, la peau et les cheveux, mais c'était typique. Elle ne dit rien et la laisse s'approcher en silence. Elle comptait tout déballer à sa matriarche, quitte à être accusée de scandale et de déshonneur. De toute façon, Ayumi n'en avait strictement rien à faire.
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| Posté le 20-08-2006 à 23:38:30
| Katsumi avança plus près des portes et vit sa petite fille adossée contre les portes. Elle s'avança près d'elle et la regarda de haut en bas: hanches et taille trop fines, pas bonne pour porter un enfant. Décidément, cette enfant ne ferait jamais rien comme les autres. Elle soupira et dit :
Bonjour Ayumi... Comment vas-tu ?
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| Posté le 20-08-2006 à 23:42:02
| Ayumi leva les yeux vers Katsumi et ne répondit pas toute de suite. Elle soupira soudainement et annonça sèchement :
Comme quelqu'un qui va être mariée de force... Quelle effet cela vous ferez t-il ?
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| Posté le 20-08-2006 à 23:46:20
| Katsumi soupira: elle s'attendait à cette réponse. Elle s'approcha lentement et dit doucement :
C'est pour le bien de notre famille que nous faisons cela, tu le sais ma chère enfant ?
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| Posté le 21-08-2006 à 09:30:46
| Le bien de notre famille en outre-passant le mien... Oui, je le sais ça... C'est très plaisant...
Dit Ayumi avec une voix qui laissait présager qu'elle allait dire ou faire les pires choses de sa vie. Elle regarda sa grand-mère sur un air de défiance et dit :
Pourquoi êtes-vous là ? Vous aviez trop chaud à Suna ?
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| Posté le 21-08-2006 à 12:27:01
| Non, je suis venue pour toi... Je te trouves très volage, mon enfant...
Elle la regarda droit dans les yeux et dit :
Cette relation que tu mènait avec le jeune Uchiwa m'a déplut... Un garçon qui n'a plus de clan et plus de richesses à t'offrir n'est pas digne de toi...
hj: J'y vais fort là XD
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| Posté le 21-08-2006 à 12:40:48
| hj: un peu oui ^^
Ayumi hausse un sourcil et ne bougea pas de sa position. Elle resta donc contre la porte les bras croisés. Puis, elle dit :
Il m'a donné beaucoup plus... la richesse matérielle n'est rien pour moi... Sasuke est le seul à m'avoir offert un nouvel horizon...
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| Posté le 21-08-2006 à 12:47:35
| Katsumi croisa les bras et fronça les sourcils. Elle dit :
Je veux que tu arrêtes cette relation... C'est bien compris ? Elle ne t'apporteras rien !
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| Posté le 21-08-2006 à 14:18:15
| Au contraire, Katsumi-sama... Elle m'a apporté ce que vous voulez m'enlever.
Annonça Ayumi d'une voix doucereuse. Elle la regarda, un léger sourire aux lèvres et dit :
Et je n'arrêterais rien... Seul la mort arrêtera cette relation qui, comme vous le dites, ne m'apporterais rien...
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| Posté le 21-08-2006 à 15:00:07
| Katsumi la regarda et secoua la tête. Elle s'approcha d'elle et dit, d'une voix sombre :
Qu'as-tu fait ? Ayumi... Qu'as-tu encore fait ?
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| Posté le 21-08-2006 à 15:06:18
| Ce que font toutes les filles amoureuses voyons...
Elle s'inclina ironiquement devant Katsumi et dit :
Je lui ai donné ce que j'avais de plus cher...
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| Posté le 21-08-2006 à 15:10:02
| Tu as osé... Osé... Honte à toi... Traînée ! Tu n'es qu'une traînée !
Katsumi s'énervait... Elle regarda sa petite fille et dit :
Nous allons allez chez toi, j'ai une chose à régler avec toi !
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| Posté le 21-08-2006 à 15:13:30
| Ayumi la regarda silencieusement et tourna les talons. Elle avait l'habitude de se faire insulter, elle n'allait pas rechigner pour ça. Elle soupira silencieusement et se mit à marcher en direction de sa maison, suivie de près par une grand-mère rouge de fureur, fulminante, pensant les pires atrocités pour sa petite fille qu'elle jugeait d'imparfaite.
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