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|  "On verra ça !"
Elle le prit dans ses bras et l'emmena à l'hôpital. Ses propres réserves de chakra s'épuisaient, pour éviter de le faire mourir.
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| P: Toute manière son destin c'est de mourir.
Killua saignait beaucoup.
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| Elle haussa un sourcil et dit :
"N'importe quoi... Un enfant, adopté ou non, nous appartient. S'il n'est pas de notre chair et d enotre sang, on lui a donné notre esprit, nos coutumes..."
Elle le regarda et dit :
"Je perds mon temps avec vous..."
Elle sauta à la branche d'arbre où se trouvait Killua pour l'emmener à l'hôpital.
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| P: Non puisque ce n'est pas mon vrai fils.
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| Elle eut un mouvement de surprise et d'horreur. Mais, elle réagit au quart de tour. Elle frappa le père au village et prit Killua dans ses bras et sauta à un arbre. Elle le mit là et invoqua son Tigre du Soir: la blessure au coeur ne se refermerait pas, mais la vie de Killua était suspendue. Elle le regarda et dit :
"Baka... Tu n'aurais pas dû t'interposer. Maintenant... Je m'occupe de ton père."
Sans lui laisser le temps de répondre, elle sauta à terre et se mit face au père. Elle frôla sa gorge et marmonna :
"Ouverture du premier Sceau."
Elle se mit en position et dit, un brin ironique et en colère :
"Je m'attendais à ce que vous fassiez cela. N'avez vous pas honte ?"
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| Ayumi, non arrete.
P: Héhé.
Le père arriva et voulait tué Ayumi mais Killua prit le coup dans le coeur.
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| Elle se calma et leva les yeux. Elle se leva et se dirigea vers la scène. Elle entendit les paroles du père. Elle dit alors sournoisement :
"L'odieux chantage... Allez-y... Tuez-moi... Je refuse que vous manipuliez Killua comme ça... A votre guise !"
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| Killua continua de marcher. Et se trouva face à face avec son père qui n'était finalement pas mort.
P: Tu as bien fait Killua, car tu savais que si tu étais resté avec eux, je les aurai tués.
M: Oui mais maintenant laisse les tranquille.
Ayumi avait ressentit ce qui se passait.
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| Il arqua les sourcils de tristesse et partit, inquiet. Il espérait que quelqu'un vienne et la console. Il devait peut-être trouver Mitsuko... Mais, ce n'était pas une bonne idée. Elle n'était pas assez chaleureuse. Alors il partit, priant les dieux pour que quelqu'un vienne.
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| Elle le repoussa et cria :
"Laisse-moi ! Rentre à la maison ! Va t'en !"
Elle mit une main sur son coeur et laissa les larmes couler.
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