| Les hommes étaient des impatients. Pouvaient-ils la fermer un peu ? Laisser les petits bruits de la nature (comme des hurlements, par exemple) courir cette immense endroit. Déjà, son ancien camarade, l'objet nommé Ishigo hurlait tellement fort (juste pour exprimmer cette immense envie de combattre, vraiment, une réaction stupide) que ses oreilles semblaient déjà avoir creusés leurs tombeaux. * ...j'échangerai bien ma place...mais je n'ai pas le choix...d'ailleurs ai-je déjà eu le choix ? non...on ne m'a jamais proposée de devenir une folle...juste que c'était tellement marrant...ensuite, ensuite...je pourrai me venger...mais bon...je suppose que j'ai mieux à faire que...réflechir à mon avenir qui se traduit inévitablement par la victoire ! * Elle regarda l'endroit où les anciens corps se trouvaient. Quelle idiote ! Elle aurait pu simplement s'amuser avec ces choses pendant des heures sans jamais s'ennuyer (mais cette Ayumi était tellement puissante, comment lui désobéir ? une pensée tellement ironique qui venait de traverser son esprit). Explorer le corps humain, des magnifiques sensations. Certaines parties l'intéressaient également, pas besoin de préciser lesquels. |
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| Il se taisait, bien entendu. Ecoutant simplement Ayumi faire leur emploi du temps, en fait, si Hikari résumé en quelques mots simple ce qu'ils devaient faire avec ce cher Ishigo c'était : "Attendez ici." Il croisa les bras en haussant un sourire, d'accord elle était plus forte qu'eux, elle avait tout à fait le "droit" de dire ce qu'il fallait faire. Mais il était impossible pour Hikari de rester sur place, impossible. Il fallait absolument qu'il fasse quelque chose. Un demi sourire sadique s'afficha sur son visage, il serra des dents et dit : En fait, les hommes restent là, et les filles vont s'amuser ? Commence pas à en mettre à part ! Tu penses peut être que je vais rester là à attendre comme un imbécile ???! Je dois faire quelques choses! C'est comme ça! Vous avez qu'à à aller chercher Abura, mais moi et Ishigo on peut très bien s'occuper d'Asashii Yue! Là, Hikari n'était plus du tout calme. En fait, c'était comme si il était à moitié lui.
A moitié ... Hikari allait se douté d'une réponce déjà froide de la part d'Ayumi, ou peut être même d'une réaction plus brutale. Mais il s'en fichait, il ne resterait pas là à attendre. Jamais. Et il était certain que le dénommé Ichigo était de son avis. |
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| Elle tourna vers Ishigo et dit déjà fatiguée par ces jours qui passeraient en leur compagnie : On est pas là pour ça. Tu vas attendre ! Lorsqu'une lumière verte apparaîtra dans le ciel, j'irais rejoindre Abura avec Rin. Ensuite, rendez-vous à la rivière de Konoha cette nuit, près de la frontière. Nous irons chercher Asashii Yu et Hateshinai Ren. Puis, elle prit Keichi près d'elle, comme une mère et annonça : Onohi Keichi, le Fou de la Paranoïa. |
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| Ishigo était sur le coté , il observait la scene , les discours , lui il n'aimait pas trop ça , il voulait qu'une seule chose , c'était de tuer le plue de gens possible mais ces compagnons ne semblaient pas vraiment très pressé de faire le mal , il fallait d'bord tous les réujnir....Ishigo soupira longtemps et fortement pour que les autres fous l'entende. De toute façon il ne risquait rien , même si il était chiant , il ne risquait rien puisque Ayumi avait besoin de lui....Il voulait partir et il allait le faire savoir. Ishigo s'approcha donc des 4 autres fous , jetant un regard au jeune Keichi qui venait tout juste de le remarquer , il leva un sourcil meme que ça fasait peur sisi. - Attendre , attendre , j'en ai marre....On dervais bouger maintenant allons chercher nos compagnons pour que je puisse enfin tuer!!! Il avait dit ces mots en regardant Ayumi puis il tourna la tête encore une fois vers Keichi. - Ayumi....Qui est ce gamin ?! Ishigo le savait bien , il s'agissait de Keichi son élève mais ce n'était plus vraiment Ishigo qui parlait , c'était une autre personne...Il ne savait pas que Keichi était lui aussi un décandant d'un fou... |
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| Hikari était resté calme, en fait, il n'avait répondu à aucune des questions qu'on lui avait posé, il regardait simplement ces chères "imbéciles" s'engueuler pour une question d'allumette. Il se fichait bien de savoir si ces cadavres devaient être brûler ou laissé en décomposition dans la nature. Ce n'était pas le sujet du jour, il fronça légèrement les sourcils touts en les regardant. L'être humain. Un être insignifiant mais bénéficiant d'une intelligence surprenante, certain n'exploité qu'un quart de cette capacité. Que cela pouvait être pitoyable parfois. Il tourna la tête vers la dénommé Ayumi et dit simplement d'une voix très basse : Vous avez fini ? Ces piailleries de jeunes filles c'était vraiment très énervant. Mais il restait comme d'habitude calme. Enfin, on ne pouvait pas savoir si d'un moment à l'autre sa deuxième personnalité aller ressortir. ... |
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| « - Comment je l’éteins…ton feu ? » Murmura lentement Rin au creux de son oreille. Décidemment, tous des sadiques, ces humains ! Jetant un dernier regard aux nombreux cadavres éparpillées comme de vulgaires déchets. Elle eut une pensée bienveillante pour eux. « - J’aimerais qu’ils aillent un meilleur enterrement. » * Ils ont étés les premiers à m’avoir amusés. Dommage qu’ils n’aillent pas hurlés. Cela aurait été tellement plus drôle d’entendre des cris. * Elle se mentait à elle-même. Ces ninjas n’avaient opposés aucune résistance. Des lâches qui se contentent de fuir la première difficulté. Il est néanmoins vrai que l’attaque d’Ishigo les avaient peut-être achevé immédiatement. « - Pas besoin de ça…de toute manière, la nature ne sera plus la même après notre passage et celles des flammes. C'est pour cette raison que je vais m'appliquer, pour te faire plaisir, si on peut appeller cela comme ça. » Pointant du doigt l’endroit, une petite boule noire se forma et fut immédiatement entourée de flammes. Elle se dirigea à toute vitesse vers ces cibles qui disparurent dans la fumée. Aucune trace. Rien. Comme si personne n’était jamais venu ici. « - C’est trop fatiguant d’allumer une allumette. » |
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| Ayumi passa un bras autour du cou de Rin et eut un léger sourire moqueur, pervers et sadique. Elle sortit un briquet et l'alluma. Elle annonça : Rin, Rin, Rin... L'alcool qui se trouve dans la deuxième gourde de ma ceinture fera parfaitement l'affaire chère Rin... Et, si tu ne fais pas ce que je veux, tu auras deux trois petits ennuis Rin... |
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